Première partie de l’intervention de M’barek MARIR, candidat MoDem aux législatives dans la 2ème circonscription du Val d’Oise, à l’occasion des Premières Rencontres Démocrates du Val d’Oise, qui se sont tenues le 1er juin 2007 à Cergy-Pontoise en présence et avec la participation de Corinne LEPAGE.
Cette vidéo est une vidéo amateur : tendez l’oreille et soyez indulgent(e).
Deuxième partie de l’intervention de M’barek MARIR, candidat MoDem aux législatives dans la 2ème circonscription du Val d’Oise, à l’occasion des Premières Rencontres Démocrates du Val d’Oise, qui se sont tenues le 1er juin 2007 à Cergy-Pontoise en présence et avec la participation de Corinne LEPAGE.
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Force est de le constater : les élus des minorités ne sont pas représentés à la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise.
Cela est-il normal ? Sans doute pas, mais c’est un fait ! Et c’est le règlement de cette institution qui le veut ainsi …
L’exemple de Cergy
Par exemple, à Cergy, pourtant la plus importante ville (avec plus de 50 000 habitants) de la Communauté d’Agglomération de Cergy Pontoise, 45% des électeurs ne sont pas représentés : ceux des groupes dits “minoritaires”, appelés aussi “oppositions”. En effet, seuls siègent au conseil communautaire des élus issus des majorités des 12 villes (dont certaines beaucoup plus petites en nombre d’habitants).
Est-ce vraiment démocratique ?
Bien sûr que non ! C’est pourquoi il avait été demandé au Président de la Communauté d’Agglomération, par ailleurs Maire socialiste de Cergy, des changements en la matière. Demandes restées vaines …
Ainsi, il nous paraîtrait normal que les représentants à la communauté d’agglomération soient élus au suffrage universel. Pour que les territoires soient justement représentés, comme l’exige la démocratie.
Comment comprendre que certains élus, qui représentent un nombre aussi important de citoyens ne puissent donner leur avis sur des sujets importants concernant le quotidien de tous les Cergypontains (habitat, déplacements urbains, politique commerciale, construction d’écoles ou de bâtiments publics, sport ou culture, etc.).
Il ne faut pas s’étonner, dès lors, que les citoyens aient l’impression - justifiée - que les choses se décident à haut niveau, et … sans eux, puisque certains de leurs conseillers municipaux ont la même impression !
C’est dire si les réformes institutionnelles
demandées par le MODEM
pour un meilleur fonctionnement de notre démocratie
nous parlent !
Ce sont les axes que défendra M’Barek MARIR
si vous lui faites confiance.
